Quand les ex-élus socialistes préfèrent s’allier avec la droite, voir l’extrême- droite et prendre l’étiquette Bonapartiste de « La Retraite En Moins » ou encore « Les Riches Exploitent & Matraquent » ,dans le seul but de préserver leurs prérogatives… Loin de leur pensée le bien être de leurs compatriotes !

Mercredi 3 juin, Fabien Roussel est venu à la rencontre des personnels hospitaliers de l’hôpital de Creil accompagné de Loïc Pen, médecin-urgentiste et tête de liste de « Nogent en commun ».

« NOGENT EN COMMUN » MOBILISE TOUTES

LES ÉNERGIES À GAUCHE

par Franck Jakubek –Liberté Hebdo

Le maire sortant de Nogent-sur-Oise n’est pas près de se remettre du résultat du 1^er tour des municipales le 15 mars. En ballotage avec 44 % des voix, l’ancien élu socialiste d’il y a six ans marchait cette fois sous les couleurs de La République en marche.

Derrière lui, « Nogent en commun », conduite par Loïc Pen, avec 25 % des voix, compte bien rattraper cet écart de 700 voix. « Sur une ville de 20 000 habitants, c’est possible. Surtout qu’au premier tour, 7 900 personnes ne se sont pas déplacées au bureau de vote » rappelle Loïc Pen.

Le premier enjeu était de réinstaller la gauche à Nogent et construire une alternative crédible. « Quand on a décidé de faire notre liste, c’était quasiment improbable d’imaginer ce résultat il y a un an » concède le médecin-urgentiste.

La marche est certes haute pour le second tour mais déjà la gauche, dans sa diversité, est réinstallée dans un paysage où la gestion autocrate, tournant autour de vieilles méthodes, prend de fait du plomb dans l’aile.

La campagne est un peu bousculée par le calendrier imposé. Avec la nécessité d’informer les électeurs vite et bien pour les mobiliser au maximum et récupérer les voix des abstentionnistes du 1^er tour.

Chaque voix compte. Faute de pouvoir organiser des réunions classiques, internet est mis à contribution très largement. À charge pour chaque soutien de la liste de solliciter ami(e)s et famille pour gagner un maximum de votes pour la liste.

En travaillant constamment à l’hôpital depuis le tout début de la crise, avec seulement quelques jours de repos utilisés pour militer avant le 1^er tour, Loïc Pen est très critique sur le choix de la date. Difficile d’avoir des disponibilités pour la campagne, « l’hôpital ne peut pas s’adapter aux plannings électoraux. »

Et le gouvernement n’a toujours pas compris ce que voulait dire le mot concertation. LREM ne risque pas de sortir avec un ancrage local de cette élection.

C’est pour cela que la bataille sera rude d’ici dimanche 28 juin, si la situation sanitaire le permet.

Comment donner notre confiance à de tels personnages qui nous bluffs depuis plus de trois ans par leur fausses promesses sans retour et des mensonges constants !

Un exécutif au complet hypnotiseur des Français, 24 heures sur 24 par les ondes et médias à leurs bottes